Reg’art: LE CRIME DE L’ORIENT EXPRESS

Date de sortie au cinéma : le 13 décembre 2017

Réalisateur : Kenneth Branagh

Titre original : « Murder on the Orient Express »

Le film est adapté d’un roman du même nom de la célèbre romancière britannique Agatha Christie publié pour la première fois en 1934. Comme son nom l’indique, l’intrigue se déroule dans l’Orient Express (train reliant les villes de Paris, Vienne, Venise et Istanbul depuis 1883) et met en scène le personnage mythique d’Hercule Poirot. Pendant ses vacances et à peine monté à bord du train, le détective se retrouve encore une fois malgré lui plongé en plein cœur d’une affaire de meurtre : l’un des passagers de l’Orient Express est retrouvé mort au petit matin dans sa couchette, assassiné à l’aide de 13 coups de couteaux successifs portés à la poitrine. A la découverte du corps, panique à bord, le coupable se trouve forcément à bord du train ! C’est donc à Hercule Poirot de mener cette nouvelle enquête et tout les passagers deviennent des suspects potentiels…

Pourquoi aller voir ce film ?

Tout le génie d’Agatha Christie se ressent dans ce long métrage au suspens magistral. En effet, impossible de deviner l’issue de l’enquête si vous n’avez pas lu le livre auparavant. De plus, le casting du film est extrêmement intéressant : on observe la présence de Pénélope Cruz, Johnny Depp ou encore le réalisateur du film lui même dans le rôle principal qui nous offrent un jeu d’acteur juste et puissant. Enfin, il existe dans ce film une richesse de plans qui accentuent le réalisme de l’histoire en nous invitant à nous figurer comme de réels passagers de l’Orient Express.

On peut noter toutefois l’existence d’un film en « deux parties » :

Tout d’abord, la première heure se ressent comme plutôt longue, l’action principale tarde à démarrer.

Ensuite, la seconde heure passe quant à elle beaucoup plus rapidement puisque chacun des éléments se succèdent jusqu’à la résolution et nous laissent quelques fois tout juste le temps de comprendre ce qui se passe.

Cependant, ce léger bémol n’enlève rien à l’extraordinaire talent d’Agatha Christie pour nous plonger dans l’univers passionnant des romans policiers et à la très bonne adaptation de l’oeuvre faite par K. Branagh. Courez au cinéma avant qu’il ne soit trop tard !

Elsa

 

Reg’art: MARQUER LES OMBRES

Titre original : Carve the mark
Parution mondiale : 17 janvier 2017

Veronica Roth est l’auteur de la série à succès Divergente, la plupart d’entre vous, à défaut d’avoir lu cette trilogie, a peut-être regardé l’une des adaptations cinématographiques de l’histoire, ou bien tout simplement entendu parler de cette dystopie qui a convaincu de nombreux lecteurs et compte aujourd’hui de nombreux fans. Marquer les ombres était très attendu par la critique ; sur les réseaux sociaux et différents blogs les avis sont mitigés. J’ai pour ma part lu ce livre au mois de juillet et l’ai beaucoup apprécié :

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UN DÉPUTÉ DANS L’ACTUALYCÉE

Sacha Houlié, 29 ans, député du groupe La République En Marche (LREM) de la 2ème circonscription de la Vienne a été élu le 18 juin 2017. Il a fait parti de la vice-présidence de l’Assemblée nationale, mais a laissé sa place le 16 janvier dernier à un représentant de l’opposition, Y Jégo (UDI). En 2015, il était le cofondateur des « Jeunes avec Macron » avec quelques autres militants. Soit, un pari un peu fou, car à l’époque, le ministre de l’économie était peu connu de la vie politique. Lors d’une tournée pédagogique dans sa circonscription, il a tenu à expliquer son travail, son devoir en tant que représentant de la nation. Les classes de 1ES1 et 1L ont pu rencontrer le député pour échanger sur sa fonction, et lui poser quelques questions.

 

Quelles ont été vos motivations  pour être député ?

« C’est la traduction d’un engagement pour changer la vie de tout le monde. Protéger les populations qui étaient le plus exposées au risque de la mondialisation, ou des sans-abris, au risque écologique etc…, bref : des engagements concrets traduisant notre programme. Et parce que l’on considère que ces engagements sont nécessaires pour le pays, on se propose d’en être les élus, pour appliquer le programme. »

Est-ce que le fait que vous soyez jeune peut être handicap ou un atout en politique ?

« Quand on se présente et qu’on est jeune, pendant longtemps ça a été mal vu. Ou ça n’a pas beaucoup existé. […] Moi, je me suis présenté dans une circonscription, il y a 40 maires qui se disaient : est-ce qu’il va vraiment travailler pour nous ou est-ce que finalement il est juste là pour voter les lois pour lesquelles il a été élu ? Eh bien après, il faut démontrer. Le travail ne s’arrête pas au moment de l’élection, c’est là où vraiment tout commence. Et c’est le fait de démontrer qu’on peut argument, de faire nous preuve d’un peu de patience, et c’est parfois un peu compliqué parce que je le sais, je l’ai vécu, qui fait que l’on convainc petit à petit les adultes ou les gens qui considèrent notre âge comme un handicap, que finalement ça peut être un avantage. Notre âge est un avantage lorsqu’on peut penser qu’on va bousculer un peu la façon de penser ou les choses. Et là, c’est l’exemple des Jeunes avec Macron. »

Comment est-ce possible de rester neutre en tant que vice-président de l’Assemblée nationale tout en organisant les débats ?

« C’est obligatoire, et c’est dans votre intérêt. […] C’est obligatoire parce que vous êtes vice-président et cela veut dire que vous avez la charge de la séance, de sorte que si les députés s’énervent parce que vous prenez le parti d’un député ou d’un autre, eh bien vous perdez totalement le contrôle de toute la séance. »

Vous avez soutenu Catherine Coutelle lors des élections législatives de 2007 à 2012, vous étiez donc plutôt à gauche au PS ; pourquoi avez-vous pris ensuite un virage vers la droite ?

« Alors ça c’est à considérer que LREM est à droite, ce que je ne partage pas. Par contre, c’est vrai qu’en 2007 et 2012, j’étais adhérent aux jeunes socialistes, c’est là où j’ai commencé. […] En ce qui concerne le temps politique qui était celui de 2007 et de 2012, il était très très marqué par le bipartisme, de sorte qu’il n’y avait que deux partis (NDLR : la droite et la gauche). Et moi j’étais beaucoup plus d’accord avec un monsieur, qui s’est malheureusement fait mal connaître ensuite, qui  s’appelait Dominique Strauss-Kahn, et qui développait déjà les idées reprises par Emmanuel Macron, notamment sur l’idée que plus on était européen, plus on se protégeait, parce qu’on était plus nombreux et qu’on s’organisait mieux, et l’idée de dire qu’il y avaient des inégalités dès notre propre naissance, et que si les Droits de l’Homme disent qu’on est libres et égaux en droits, au final, l’endroit où on habite, l’accès à la santé, l’accès au travail, les écoles, ça créent des grandes inégalités entre nous et donc qu’il faut corriger dès le départ (c’est ce que disait Dominique Strauss-Kahn et ce que disait sous une autre forme Emmanuel Macron lorsqu’il parlait d’assignation à résidence dans les quartiers, que j’ai retrouvé en 2015) et c’est ce qui fait qu’en 2007, j’ai fait campagne pour Catherine Coutelle, en 2012 j’ai aussi fait campagne pour elle et pour le PS. Mais entre 2012 et 2015, ce que faisait le gouvernement ne me plaisait pas, j’étais en désaccord, et surtout je ne retrouvais pas les idées que je viens d’exprimer ici. »

Avez-vous un peu de temps à consacrer à vos proches ?

« Alors… Pas beaucoup. Pas assez, probablement. Moi j’ai la chance aussi d’avoir des amis qui sont élus […] donc heureusement je les vois un peu. Mais à l’évidence, -ce qui n’est pas bien- je n’ai pas assez de temps à moi personnel. Mais c’est parce que je suis aussi passionné par ce que je fais et je pense que pour être élu, il faut aussi être passionné, parce que si on prend ça comme une corvée, ça dure jamais très longtemps. »

Pensez-vous que le système bicaméral est toujours pertinent ? Pensez-vous que le Sénat joue un rôle moins important que celui de l’Assemblée nationale ?

« D’abord moi j’ai été élu dans un programme qui promet de réduire le nombre de parlementaires. […] L’idée qu’on se fait, c’est de se dire qu’il y a un tiers de parlementaires dont on pourrait se passer. Pas qu’ils sont forcément en trop aujourd’hui, mais que, on est capable de faire aujourd’hui avec moins. […] En revanche, ce que je trouve pas utile c’est que aujourd’hui on a l’Assemblée nationale et le Sénat qui sont le vrai Parlement, et puis on a une chambre à côté qui s’appelle le Conseil Economique Social et Environnemental (CESE) qui regroupe plein d’acteurs d’associations ou de syndicats etc…, et qui eux, ça veut dire que soit ils ne sont pas représentés dans les chambres, ce qui est dommage, soit finalement ils font un travail qui est différent, ce qui est aussi dommage. Dans ces circonstances, dans ces trois chambres, à mon avis il y en a une de trop. Voilà. Mais le Sénat, d’un certain point de vu, il a une utilité, moi je n’irais pas jusqu’à dire qu’il est inutile. Est-ce que le Sénat ne m’ennuie pas parfois ? Si, clairement si ! »

Que pensez-vous de la loi d’immigration de Gérard Collomb ?

« C’est un sujet qui est très délicat parce qu’on a 3 aspects qui sont vus sous l’angle d’un texte qui a été adopté avant la loi, qui fait que ça rend tout ça assez délicat. Ce texte adopté avant la loi, c’est la circulaire de Gérard Collomb, pour aller voir dans les centres d’hébergement d’urgence la nationalité des personnes, et savoir si elles ont déposé des demandes à la préfecture ou pas, pour pouvoir les régulariser ou pas. Ça a été très mal vécu, alors que la volonté fondamentale de ce texte-là était de se dire qu’on avait des places d’hébergement d’urgence, 126 000, on les a augmenté de 14 000 (soit 140 000), mais c’était toujours plein. Et puis à côté de ça, on avait des places d’hébergement pour des demandeurs d’asile, il y en avait 80 000, on les a augmenté de 8000 sur 2 ans, mais c’était jamais plein. Et donc il y avait un besoin d’un vase communiquant entre les deux, puis il y avait surtout des gens dans les centres du 115 (le 115, c’est quand vous appelez un numéro, le service social, et qu’au lieu de dormir dans la rue, on vous donne des chambres d’hôtels) sauf que dans ces chambres d’hôtel-là, il y avait des gens qui avaient déjà des titres de séjours. Et donc qu’on pouvait héberger, et c’est notre volonté, dans des appartements de façon durable. Donc il y avait une volonté de dire on répartit mieux les gens, on fait un accueil inconditionnel, on loge tout le monde, et donc faire en fonction de la situation de chacun. Et ça, c’est un texte qui a été très très mal compris, parce que ça n’a été expliqué à personne, que Gérard Collomb pour le coup a fait quelques boulettes aussi sur ce sujet-là, de sorte que ça s’est très rapidement envenimer. Et puis, après il y a la loi asile-immigration : là, c’est la volonté de mieux protéger les gens qui relèvent du droit d’asile, donc qui sont persécutés dans leur pays. Le droit d’asile étant protégé par une norme supérieure à celle de la Constitution française ; c’est une convention internationale de Genève, on les protège mieux, on les intègre, par contre lorsque les gens aujourd’hui ne relèvent pas ni du droit d’asile ni de titre de séjour, eh bien on pratique des reconduites à la frontière. »

Cette rencontre enrichissante a permis un éclaircissement sur nos représentants, nous familiarisant avec les instances législatives de la Vème République. Ainsi, Sacha Houlié nous a amené à réfléchir sur notre futur rôle de citoyen : s’engager dans la vie publique, primordiale pour changer les choses au 21 ème siècle ?

Marina BONY et Salomé REDEUILH

 

 

Alexia De Carvalho – Call of Event

En octobre 2017, Alexia De Carvalho lance sa Junior Association (JA), « Call of Event », qui ne cesse aujourd’hui de grandir. En effet, au début seuls quelques amis l’accompagnaient, puis le bouche à oreille a permis de gonfler l’effectif de son équipe jusqu’à une douzaine de jeunes entre 11 et 18 ans. Le but de cette Junior Association ? Participer à l’organisation de grands événements (aussi appelés
« conventions »), comme le Japon Tours Festival ou la Gamers Assembly.

Passionnant. C’est l’adjectif qui résumerait bien l’activité de cette association. Dans la bouche d’Alexia, ce serait plutôt « ultra cool ». Ou « grave bien ». Quand Alexia parle de « Call of Event », ça donne clairement envie. Effectivement, quand quelqu’un a besoin d’aide pour organiser un évènement, qu’on a besoin de staffs pour le gérer, ce sont des associations comme celle d’Alexia auxquelles on fait appel. Lors de ces events, la JA peut exercer un panel de professions très variées : des métiers de la logistique comme l’hôtellerie, la restauration, le service, mais aussi le journalisme, la présentation à la télévision ou sur la radio, l’animation, l’éclairage, l’organisation de défilés cosplays, le sponsoring etc…

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Parcoursup’er expliqué

La semaine dernière, la plateforme Parcoursup, destinée à accueillir les vœux de tous les lycéens de France ouvrait, remplaçant APB. Vous avez sans doute entendu parler de son« bug »  l’été dernier, qui avait laissé  plus de 80 000 bacheliers sans place à la mi-juillet.

Ce qui c’est passé l’été dernier était surtout la démonstration d’un système à bout de souffle. Trop peu de places en université pour des bacheliers de plus en plus nombreux à faire des études et trop peu d’informations sur ce que nous pouvions faire après notre bac, bref un système d’orientation loin d’être parfait.

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QUESTION DÉBAT

Ce blog a l’avantage d’être interactif, alors participe-y : ne sois plus seulement le lecteur mais l’acteur ! Donne ton avis dans les commentaires et il sera, s’il est argumenté et pertinent, publié dans l’article pour répondre à ce débat ! Il y en a pour tout le monde : les réponses les plus drôles seront également publiées !

La question de ce numéro sera la suivante : Pensez-vous que les réseaux sociaux vous influencent-ils ? Et si oui, de quelle manière ?

En effet, les chiffres sont frappants : quelques milliards de personnes utilisent Facebook, pour beaucoup il est devenu leur seule source d’information sur le monde extérieur. On pourrait croire que les conséquences ne sont pas d’ordres majeurs, que ce réseau ne peut pas impacter des pays entiers, mais qu’en est-il vraiment ?

Téléthon à Camille Guérin

Il y a tout juste deux semaines, c’était au lycée la journée du Téléthon.

Comme différents organismes, ou chaînes de télévision, les élèves de notre lycée se sont aussi mobilisés le vendredi 8 décembre pour cette cause solidaire. En effet, avec l’aide du club caritatif et de quelques professeurs enseignant en sciences, un système de dons a pu être mis en place, permettant de récolter près de 1200 euros au total.

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LES DONS

La vente de gâteaux qui s’est déroulée toute la journée a permis de récolter près de 500 euros ; c’est plus du double par rapport à l’année précédente (environ 200 euros). Quant aux dons directs, récupérés par les délégués de chaque classe, ils s’élèvent à environ 700 euros.

LES RÉSULTATS DU CONCOURS

Suite au concours qui a été organisé tout au long de la semaine, les classes qui ont le plus donné sont : la TS3 et l’agro 1B (environ 70 euros chacune), la 2nd 2 (53 euros), la 2nd 4 et la 1S4 (42 euros chacune). Bravo à eux !

LE LOGO

Enfin, vendredi à 13h (peu après que la conférence donnée par M.SEBILLE sur les maladies rares se soit terminée), s’est déroulé la représentation dans la cour du logo de l’AFM à échelle humaine. Tous les élèves présents ont brandi une feuille de couleur au-dessus de leur tête, comme pour lutter collectivement contre ces maladies rares auxquelles les médecins n’ont pas toujours trouvé de traitements. En effet, le plus difficile est de diagnostiquer la maladie chez le patient ; tâche complexe car ces patients sont des cas uniques et rarissimes. Ensuite, trouver le bon traitement, ce qui nécessite des années de recherches et donc, beaucoup d’argent pour les financer. Il est donc d’autant plus important de les aider, car ces patients ne sont pas seulement atteints d’une maladie, mais d’une maladie rare, difficile à repérer. C’est pour cette raison que le lycée Camille Guérin s’est mobilisé. En effet, cette démonstration de soutien a permis d’obtenir la photo ci-jointe depuis le 3ème étage du lycée. Un beau soleil qui, nous l’espérons, éclaircira bientôt le quotidien des patients atteints de myopathies.

Marina BONY

10 faits sur… L’INDE

  • Un pays avec une population de 1,25 milliard de personnes atteignant ainsi la deuxième place après la Chine au classement du pays le plus peuplé du monde.
  • 1652 langues et dialectes parlés en Inde.
  • L’Inde est le pays qui contient la plus grande famille composée avec un seul homme. Avec 39 femmes différentes, il a eu 94 enfants.
  • Le Kumbh Mela, à l’origine un ancien rituel de fertilité, est aujourd’hui le plus gros rassemblement de personnes au monde ( en moyenne plus de 100
    millions d’individus ).
  • Les conflits de dot (échange de biens entre les familles des deux époux) causent la mort d’une femme toutes les heures en Inde.
  • 70% des épices du monde entier proviennent d’Inde !
  • Il existe un Temple d’Or en Inde qui nourrit des milliers de personnes sans distinction de classe, de race, ou de religion. Un repas végétarien est distribué
    quotidiennement à 100.000 personnes.
  • Le salaire du premier ministre indien était de 2145€ en 2013. Cette même année, le salaire du président américain s’élevait à 30.000 €.
  • En 2050, l’Inde devrait être le pays le plus peuplé du monde .
  • Le Gulabi Gang est un groupe d’activistes féminin, dont le but est de protéger les femmes victimes de violences, surtout conjugales.

Juliette VINET

RUGBY

La Fédération internationale a décidé il y a maintenant presque un mois que la France accueillerait la Coupe du Monde de 2023. De belles retombées économiques en perspective, et l’occasion pour la nation de s’entraîner à la gestion de grands événements sportifs avant les JO de 2024. Cependant, on aimerait bien voir notre équipe nationale obtenir de meilleurs résultats, après avoir été mise en déroute 2 fois par les Néo-Zélandais, et un match nul face au Japon, lors de test-matchs. Prochain défi, le 3 février face à l’Irlande !

Simon KREMER

JUDO

Teddy Rinner a remporté son dixième titre de champion du monde le 11 Novembre dernier à Marrakech (Maroc). Le français est le judoka le plus titré de l’histoire à seulement 28 ans. Il ambitionne de continuer jusqu’en 2024 pour les Jeux Olympiques en France dont il est l’un des grands ambassadeurs.

Simon Kremer

TENNIS

La France a remporté dimanche 26 Novembre 2017 la 10ème coupe Davis de son histoire en battant la Belgique en finale au stade Pierre Mauroy de Lille sur le score de 3-2. C’est Lucas Pouille qui a remporté le match décisif contre Steve Darcis (6-3,6-1,6-0) et permet aux Français, 16 ans après leur dernier sacre, de soulever le saladier d’argent. Yannick Noah, le sélectionneur a été conforté à son poste.

Simon KREMER

Intermittent du spectacle: rencontre avec Alexis Blithikiotis

Quand et pourquoi le statut d’intermittent a-t-il été créé ?

Le statut d’intermittent du spectacle est propre à la France. Créé en 1936 pour les salariés du cinéma, il répondait au besoin de souplesse dans le calendrier des techniciens. En effet très peu de salariés acceptaient les emplois de courte durée, de peur du chômage à la fin du contrat. En 1961 le statut est devenu accessible aux artistes de scène (comédiens, danseurs, techniciens du spectacle, etc). Aujourd’hui ce statut existe toujours.

Qu‘est ce que le statut d’intermittent du spectacle ?

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